
Très médiatisée pour son essai Vivre avec nos morts (Grasset, 2021), Delphine Horvilleur a dressé à la rentrée littéraire 2022 un Monologue contre l’identité autrement nommé Il n’y a pas de Ajar. Outre le jeu de mot qui saute aux yeux, l’écrivaine et rabbin nancéienne propose un court texte autour des questionnements sur l’identité et ses diverses ramifications.
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