
Panser la douleur et raconter l’histoire de la perte par l’écriture, c’est en partie ce que Marisol Drouin avait fait au travers de son essai Je ne sais pas penser ma mort en 2017. Alors cette fois-ci, l’autrice et poétesse québécoise s’empare du sujet par un tout autre prisme. Liant le récit aux souvenirs de l’intime et à la force du sang que l’on partage, il y a dans Jumeau jumelle l’éternel amour face au vertige de la maladie.
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